Matvimmo était au Simi, Salon de l’immobilier d’entreprise, le rendez-vous de référence des acteurs de l'immobilier, du 12 au 14 décembre 2023.
Arnaud Adler, président de Coworkea a répondu à nos questions :
- Pouvez-vous nous présenter Coworkea ?
- Avec le développement du télétravail, comment Coworkea permet aux entreprises de rentabiliser leurs bureaux inoccupés ?
- En quoi Coworkea contribue-t-elle à réduire l’empreinte Carbonne des entreprises ?
Le coworking émerge comme une stratégie judicieuse pour les entreprises cherchant à rentabiliser leurs bureaux inoccupés. Ce modèle novateur optimise l'utilisation de l'espace en permettant aux entreprises de partager des installations et des ressources, réduisant ainsi les coûts liés à la location et à l'entretien des locaux non utilisés. Cette flexibilité est cruciale, car elle élimine la nécessité d'engagements à long terme, permettant aux entreprises de s'adapter rapidement à l'évolution de leurs besoins.
En choisissant le coworking, les entreprises partagent les frais généraux tels que l'électricité, le chauffage, et l'accès à Internet, ce qui contribue à une réduction des coûts fixes. De plus, ces espaces offrent une gamme de services inclus, comme la réception, la gestion des appels, et l'accès à des salles de réunion, soulageant ainsi les entreprises de certaines responsabilités administratives.
Le coworking va au-delà de la simple optimisation financière, favorisant également le networking et la collaboration. Les interactions entre différentes entreprises et travailleurs indépendants présents dans ces espaces peuvent générer des opportunités d'affaires, de partenariats et de collaborations, ajoutant une dimension supplémentaire à la rentabilité globale.
« Enfin, le coworking permet une adaptation agile aux besoins changeants des entreprises. Que ce soit pour accompagner une croissance rapide ou pour ajuster la taille de l'espace en fonction des fluctuations de l'effectif, le coworking offre une solution flexible et efficiente pour maximiser la rentabilité des bureaux inoccupés » conclut Arnaud Adler, président de Coworkea