Interview de Franck Vignaud, directeur du Laboratoire de l’immobilier, chez Théséis.
1 - Sous quelles conditions les opérations en cours bénéficient-elles d’un sursis ?
2 - Pourquoi ce délai est-il insuffisant ?
3 - A partir de quel mois grand maximum les investisseurs devraient éviter de se positionner sur ces opérations en cours en zone B2 et C ? Que doivent-ils impérativement vérifier pour éviter de se retrouver le bec dans l’eau et ne pas pouvoir défiscaliser au final ?
Propos recueillis par Alexandra Boquillon